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Partir en mission humanitaire pour aider son prochain

Contribuer au bien-être d’autrui est l’objectif des missions humanitaires qui offrent une expérience enrichissante. En effet, les volontaires apportent un soutien efficace et pertinent aux personnes en détresse ou en danger. Quel que soit le domaine d’intervention, que ce soit la santé, l’éducation, l’environnement ou les droits humains, les volontaires peuvent agir positivement sur le terrain et tisser des relations avec les habitants. Ainsi, partir en mission humanitaire peut être un moyen de se rendre utile, mais aussi de se connaître davantage et d’acquérir des compétences.

L’humanitaire : une contribution au bien-être collectif

Premièrement, partir en mission humanitaire permet d’améliorer le bien-être d’autrui. En effet, les volontaires fournissent un appui matériel ou psychologique aux personnes qui en ont besoin. Ils peuvent ainsi atténuer leur douleur, augmenter leur niveau de vie, restaurer leur respect ou leur indépendance. Les volontaires peuvent aussi rapporter la vérité des situations qu’ils vivent et alerter l’opinion publique sur les enjeux planétaires. Par exemple, ils peuvent révéler les atteintes aux droits humains, les impacts des guerres, les conséquences du réchauffement climatique, etc. Ainsi, partir en mission humanitaire peut avoir un effet positif sur le monde et sur la société. Par exemple, des volontaires peuvent se mobiliser pour la défense de l’environnement, la sauvegarde de la biodiversité ou la valorisation du développement durable. Ils peuvent ainsi mener des actions de plantation, de ramassage, d’information ou de formation. Ils contribuent ainsi à combattre la dégradation des écosystèmes, la contamination ou le gaspillage.

L’humanitaire : un apprentissage de soi et des autres

Deuxièmement, partir en mission humanitaire permet de se révéler soi-même et de renforcer ses compétences. En effet, les volontaires font une expérience humaine intense qui les expose à des réalités différentes de celles qu’ils connaissent. Ils doivent s’adapter à un nouveau cadre culturel, linguistique, géographique ou social. Ils doivent aussi montrer de l’initiative, de l’inventivité, de la responsabilité ou de la collaboration. Ces défis leur permettent de se remettre en cause, de se connaître mieux, de gagner en assurance ou en maturité. Ils peuvent aussi acquérir des compétences utiles pour leur vie personnelle ou professionnelle. Par exemple, ils peuvent apprendre une nouvelle langue, utiliser un outil technique, encadrer un groupe, administrer un budget, etc. Ainsi, partir en mission humanitaire peut être une chance de croissance personnelle et professionnelle. Selon le Baromètre du bénévolat de France Bénévolat, 11 millions de personnes pratiquent le bénévolat associatif en France en 2022, soit 21% de la population des 15 ans et plus.