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Travailleuse du sexe et dispositifs d’aide

Les prostituées sont fréquemment soumises à la coercition et à la violence. Les jeunes femmes migrantes sont particulièrement vulnérables car elles ne connaissent pas leurs droits. Leur clientèle et la direction de l’établissement peuvent facilement profiter de leur chagrin.

Le gouvernement peut accorder une aide financière aux groupes privés ou publics qui prennent des mesures pour informer les personnes impliquées dans la prostitution.

Facilitation de l’accès aux soins pour les travailleuses du sexe

La loi du 13 avril 2016 affirme la position abolitionniste de la France, qui considère la prostitution comme une atteinte à la dignité humaine. Ainsi, la certaines association lutte pour aider les personnes à sortir de la prostitution. Dans la majorité des cas, les activités tournent autour :

  • De la prévention des maladies sexuellement transmissible. En effet, il est indispensable que la travailleuse du sexe soit consciente des risques qu’elle prend en réalisant ce genre de profession.
  • De l’accès aux modes de contraception. Les prostituées doivent suivre des programmes de contraception qui permettront évidemment de réduire le risque de grossesse involontaire.
  • De l’aide financières et de l’aide covid.

Toutes ces mesures sont réalisées dans le cadre d’un suivi fréquent assuré par l’ensemble de bénévoles. Les tournées, comme celles des sans-abri, se font chaque semaine aux mêmes heures et dans les mêmes lieux. Grâce au suivi offert, les travailleurs sociaux, un psychologue et un conseiller en insertion professionnelle, le travail d’accompagnement permet la création d’un projet de reconstruction pour la personne prostituée.

Actions d’aide aux travailleuses du sexe

Des associations mettent tout en œuvre pour venir en aide aux travailleuses du sexe et, plus largement, aux femmes célibataires en situation de prostitution ou victimes de la traite à des fins d’exploitation sexuelle.

Elles soutiennent diverses mesures telles que les tournées de rue, l’accueil de jour, les programmes de dynamisation et de rupture afin de permettre leur réinsertion sociale et professionnelle durable. Ces aides multiples ont pour but d’aider les travailleuses du sexe à quitter ce milieu et de favoriser leur réinsertion. Enfin, afin d’aider les femmes seules victimes des réseaux de prostitution, des efforts considérables sont entrepris pour leur offrir un logement sûr et un soutien à l’intégration.